samedi 24 novembre 2012

Projet Céline 2 – phrase 16

Era como si lo estuvieran demoliendo: cada una de las células que durante ochenta y dos años había confluido en ese mismo espacio para darle forma a don Arturo, ahora se desprendía de él.

Traduction temporaire :
C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.

4 commentaires:

Unknown a dit…

C’était comme s’ils étaient en train de le détruire : chacune des cellules qui, pendant quatre-vingt-deux ans, s’étaient réunies dans ce même espace pour donner une forme à don Arturo, se séparait de lui à présent.

Tradabordo a dit…

C’était comme s’ils étaient en train de le détruire [je pense qu'il y a mieux dans ce contexte] : chacune des cellules qui, pendant quatre-vingt-deux ans [ou avec « quatre-vint-deux ans durant » ?], s’étaient réunies [« rejointes » ?] dans ce même espace pour donner une [est-ce qu'on ne peut pas supprimer « une » ?] forme à don Arturo, se séparait de lui à présent [je crois qu'on a déjà « à présent » ; vérifie + à placer ailleurs].

Unknown a dit…

C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.

Tradabordo a dit…

C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.

OK.