mercredi 14 février 2018

Projet Justine / Elena – texte 181

El rebelde

Sabe que es tarde para él, y sin embargo puede no serlo para su familia si actúa rápido.  Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito.  Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita. Llega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive. Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.  Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.  Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Traduction temporaire :

Le rebelle

Il sait qu'il est trop tard pour lui, mais pas forcément pour sa famille, s'il agit vite. Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner le siège grâce auquel l'ennemi fait pression, elle lui rend visite. Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui rapprochent des voix absentes, comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas. Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photos, de livres, de mélodies qu'ils susurrent ou se rappellent ensemble. Il s'avère que ces visites s'espacent, c'est du moins ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans les entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et il commence à oublier qui il est. Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle arrive, le regarde et ne le reconnaît pas.

43 commentaires:

Elena a dit…

El rebelde

Sabe que es tarde para él, y sin embargo puede no serlo para su familia si actúa rápido.

Le rebelle
Trop tard pour lui, il le sait, et cependant, en agissant vite, il se peut que pour famille ça ne le soit pas.

Justine a dit…

El rebelde

Sabe que es tarde para él, y sin embargo puede no serlo para su familia si actúa rápido.

Le rebelle

Il sait qu'il est trop tard pour lui, mais pas forcément pour sa famille, s'il agit vite.

Tradabordo a dit…

El rebelde

Sabe que es tarde para él, y sin embargo puede no serlo para su familia si actúa rápido.

Le rebelle

Il sait qu'il est trop tard pour lui, mais pas forcément pour sa famille, s'il agit vite.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Le rebelle

Il sait qu'il est trop tard pour lui, mais pas forcément pour sa famille, s'il agit vite.

OK.

Justine a dit…

Elena a dit...

Le rebelle

Il sait qu'il est trop tard pour lui, mais pas forcément pour sa famille, s'il agit vite.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito. Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita.

Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner les gardes qui font pression sur les ennemis, elle lui rend visite.

Tradabordo a dit…

Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito. Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita.

Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner les gardes qui font pression sur [Elena ?] les ennemis, elle lui rend visite.

Elena a dit…

Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito. Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita.

Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner le siège grâce auquel l'ennemi fait pression, elle lui rend visite.

Tradabordo a dit…

Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito. Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita.

Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner le siège grâce auquel l'ennemi fait pression, elle lui rend visite.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Huye. Peregrina por diversos antros, a cual más inhóspito. Cuando su amada logra evadir el cerco de vigilancia con el que aprietan los enemigos, lo visita.

Il s'enfuit. Il erre dans divers antres, tous plus inhospitaliers les uns que les autres. Quand son amante parvient à contourner le siège grâce auquel l'ennemi fait pression, elle lui rend visite.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Llega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive. Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui ramènent des voix absentes comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas. Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photo, de livres, de mélodies qu'ils murmurent ou se rappellent ensemble.

Tradabordo a dit…

Tu en mets trop long.

Justine a dit…

lega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive.

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui ramènent des voix absentes comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas.

Tradabordo a dit…

Llega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive.

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui ramènent [FS ?] des voix absentes [virgule ?] comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas.

Justine a dit…

Llega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive.

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui rapprochent des voix absentes, comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas.

Tradabordo a dit…



Llega con palabras que son besos, caricias, con pala- bras que acercan voces ausentes como el “te queremos papi” que tanto necesita oír, con el “te quiero” sin el cual no vive.

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui rapprochent des voix absentes, comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Elle arrive avec des mots qui sont des baisers, des caresses, avec des mots qui rapprochent des voix absentes, comme leur « on t'aime, papa » qu'il a tant besoin d'entendre, avec son « je t'aime » sans lequel il ne vit pas.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.

Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photo, de livres, de mélodies qu'ils murmurent ou se rappellent ensemble.

Tradabordo a dit…

Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.

Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photo [tu as vérifié qu'on ne met pas le s ?], de livres, de mélodies qu'ils murmurent [littéral ?] ou se rappellent ensemble.

Justine a dit…

De source sûre, on peut accorder ou non.

Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.

Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photos, de livres, de mélodies qu'ils susurrent ou se rappellent ensemble.

Tradabordo a dit…

Comparte con él la única riqueza que logró conservar: cajas con álbumes llenos de fotos, libros, me- lodías que susurran o recuerdan juntos.

Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photos, de livres, de mélodies qu'ils susurrent ou se rappellent ensemble.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Elle partage avec lui la seule richesse qu'elle a réussi à garder : des boîtes remplies d'albums photos, de livres, de mélodies qu'ils susurrent ou se rappellent ensemble.

OK.

***Au bon endroit ! ;-)

Tradabordo a dit…

OK. Du coup, c'est bon.

VPC.

Justine a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il arrive que ces visites s'espacent, c'est du moins son ressenti à lui ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et commence à oublier qui il est.

Tradabordo a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il arrive [je me demande si c'est le même sens qu'en V.O.] que ces visites s'espacent, c'est du moins son ressenti [non, interdis-toi la substantivation : « le ressenti ». NIET] à lui ;


la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et commence à oublier qui il est.

Justine a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il arrive [je me demande si c'est le même sens qu'en V.O./ Elena ?] que ces visites s'espacent, du moins, c'est ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et commence à oublier qui il est.

Tradabordo a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il arrive [je me demande si c'est le même sens qu'en V.O./ Elena ?] que ces visites s'espacent, du moins, c'est ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et commence à oublier qui il est.

J'attends qu'Elena réponde pour enchaîner sur la correction.

Elena a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il s'avère que ces visites s'espacent, du moins, c'est ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et commence à oublier qui il est.

Tradabordo a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il s'avère que ces visites s'espacent, du moins [si vous le mettez après, ça évitera une virgule], c'est ainsi qu'il le ressent [ou : « perçoit » ? J'hésite] ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans ses [le possessif ?] entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et [« il »] commence à oublier qui il est.

Justine a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il s'avère que ces visites s'espacent, c'est du moins ainsi qu'il le ressent [ou : « perçoit » ? J'hésite / Je préfère « ressent », car sa douleur est décrite.] ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans les entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et il commence à oublier qui il est.

Tradabordo a dit…

Ocurre que aquellas visitas se distancian, o así lo siente él; entonces, la soledad duele como un puñal clavado en las entrañas. Sin las pupilas de ella no tiene un espejo donde reflejarse y comienza a olvidar quién es.

Il s'avère que ces visites s'espacent, c'est du moins ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans les entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et il commence à oublier qui il est.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il s'avère que ces visites s'espacent, c'est du moins ainsi qu'il le ressent ; la solitude lui fait alors aussi mal qu'un poignard planté dans les entrailles. Sans ses pupilles à elle, il n'a pas de miroir où se refléter et il commence à oublier qui il est.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle vient, elle le regarde, elle ne le reconnaît pas.

Tradabordo a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle vient, elle le regarde, elle ne le reconnaît pas.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle vient ["arrive" ?], elle [Nécessaire ?] le regarde, elle ["et" ?] ne le reconnaît pas.

Tradabordo a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle vient ["arrive" ? OK], elle [Nécessaire ? Comme vous voulez] le regarde, elle ["et" ? Idem] ne le reconnaît pas.

Justine a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle arrive, le regarde et ne le reconnaît pas.

OK.

Elena a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle arrive, le regarde et ne le reconnaît pas.

Tradabordo a dit…

Un día, un momento en el tiempo que quizá estuvo escrito desde siempre en el destino de ambos, ella llega, lo mira, no lo reconoce.

Un jour, un moment dans le temps qui avait peut-être été écrit depuis toujours dans leur destin à tous les deux, elle arrive, le regarde et ne le reconnaît pas.

OK.

VPC.